Analyse technique de Zelda: Tears of the Kingdom sur Switch : Performance, créativité et limitations

Dans sa dernière vidéo, Gia nous livre une analyse technique du dernier Zelda : Tears of the Kingdom, sorti sur Switch. Nous la résumons ci-après mais nous vous laissons la visionner si vous le souhaitez avant 😉

 Nintendo utilise diverses astuces pour optimiser les performances du jeu, telles que le cell shading et le brouillard.

Le moteur physique du jeu est impressionnant, notamment compte tenu du nombre de constructions possibles. Cependant, on peut constater des chutes de framerate lors de constructions massives. On peut se demander pourquoi il n'y a pas de limitations quant au nombre et à la taille des créations.

L'esprit du jeu est de préserver la liberté de construire et de laisser s'exprimer la créativité des joueurs. Malgré cette liberté, le jeu présente peu de bugs et offre de nombreuses solutions pour résoudre les problèmes rencontrés, ce qui est un véritable miracle pour cette partie. Même si beaucoup de joueurs utilisent des ponts pour solutionner leurs problèmes. 😂

Une couche supplémentaire a été ajoutée à la carte de Breath of the Wild, offrant ainsi de nouvelles possibilités de gameplay. Cependant, on peut noter un effet d'aliasing et de scintillement qui pourrait être lié à la technologie FSR d'AMD, également utilisée dans Splatoon 3 et Nintendo Switch Sport.

Bien que le moteur graphique semble similaire à celui de Breath of the Wild, il semble que le jeu ne soit pas cross-platform et présente plusieurs nouveautés malgré des graphismes similaires.

Malgré son ambition, le jeu est limité par les capacités de la Switch, qui montre des signes de faiblesse.

On peut se demander si Nintendo aurait dû sortir un jeu qui aurait pu être cross-platform avec sa prochaine console, remplaçante de la Switch ?